J'ecris déja plusieurs mois, mes écrits tendent toujours vers robert pattinson pour qui je voue une admiration indescriptible, mais c'est tout de même grâce à twilight que j'ai pu découvrir un univers passionnant que j'affectionne particulièrement, j'avais envie de vous faire découvrir un nouveau récit à ma façon (en poésie biensur)
c'est la rencontre d'Edward et Bella POV d'edward à la façon Midnight Sun biensur dont je me suis inspirée en grande partie
Pour l'imagé j'ia crée cette bannière
c'est la rencontre d'Edward et Bella POV d'edward à la façon Midnight Sun biensur dont je me suis inspirée en grande partie
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- Spoiler:
Comme tous les jours à la cafétéria, nous nous installions à la même table,
Depuis quelques minutes, je pouvais entendre leurs pensées détestables,
Une nouvelle élève avait fait son entrée aujourd’hui dans notre lycée,
Une certaine Isabella Swan que déjà tous les garçons essayaient d’épater
J'écoutais ce que cette fille pensait en regardant notre famille, à la peau blanche, comme de la craie
Je n'entendais rien, sauf les différents monologues des gens qui l’entourait.
Quelle particularité cette fille avait-elle ?
Difficile apparemment de trouver laquelle,
Encore une fois, mon regard accrocha ses profonds yeux marron.
Elle était assise là et nous regardait pour de bon.
Elle pensait à nous aussi, comme tous les autres, c’était logique.
Mais je n'entendais pas même un murmure.
Je n’entendais que les propos de ses amies, tous pathétiques
Elle semblait venue d’ailleurs, je voulais en être sure
D’alléchantes bouffées de chaleur teintèrent ses joues de rouge
Elle baissa le regard comme si elle venait de croiser un inconnu,
Elle voyait que je la toisait, faisait en sorte que rien ne bouge,
Elle me regardait, savait que je l’avais reconnue
Fascinée, subjuguée, elle devait l’être assurément
Ce ne serait pas la première fois, depuis tout ce temps.
Nous étions sublimes pour eux, notre proie désirée.
finalement, l'embarras d'avoir été surprise en train de me fixer.
Ses yeux étaient surprenants à cause de leur profondeur
Je n’entendais rien hormis le silence qui demeure.
Peut-être était-ce juste un instinct protecteur profondément enfoui
Mais cette fille semblait plus fragile que ses camarades, et déjà je l‘ébloui.
Je pouvais voir les pulsations dans ses veines à travers sa peau translucide.
Mais je ne devais pas me concentrer sur ça, je devais avoir les idées limpides.
Il y avait un léger pli entre ses yeux marron, une autre des mes interrogations
Je sentais qu'elle faisait un effort pour rester stoïque, assise là,
Pour faire la conversation à ces étrangers, étant leur centre d'attention.
Je pouvais deviner sa timidité à la façon dont elle tenait ses frêles épaules,
Légèrement voûtées, comme si elle se protégeait d’un danger imminent.
Mais je ne pouvais que voir, qu'imaginer, tout de même drôle
Il n'y avait rien mis à part le silence de cette fille, extraordinaire.
Je ne pouvais rien entendre. Pourquoi ? Ce n’était pas ordinaire
En classe, je m'assis sur ma chaise habituelle, sortit mes bouquins
il n'y avait rien dedans que je ne savais déjà, je les connaissais bien
L’unique étudiant qui avait une paillasse à lui tout seul devant,
instinct de survie, les humains savaient au fond, ce que j’étais, effrayant !
La salle se remplissait lentement comme elle s'était vidée à la cantine.
Je me penchai en arrière sur ma chaise et attendis que le temps passe.
Je souhaitais encore pouvoir dormir et qu‘enfin je me délasse.
De toutes ces sensations étranges et curieusement divines
Bella marchait dans un écoulement de chaleur que le vent m'envoya.
Son parfum me frappa tel une balle destructrice, un coup de massue.
Il n'existait pas d'image assez violente pour décrire la force me frappant
Un vertige des plus brutal, un complet chamboulement
J'étais un vampire, voila ce que j’étais assurément
elle avait le sang le plus doux que j'avais senti en plus de quatre-vingt ans.
Je n'avais jamais imaginé qu'un tel parfum puisse exister.
Si je l'avais su, je serais parti à sa recherche depuis longtemps.
J'aurais passé la planète au peigne fin pour le trouver.
Je pouvais imaginer son goût, la soif brûlait ma gorge en feu. ..
Ma bouche était chaude et sèche et cela me rendait malheureux.
Le flot frais de venin ne dissipait en rien ce sentiment.
Mon ventre se tordait de faim, faisant écho à ma soif brutale.
Mes muscles se bandaient pour sauter, bondir tel un animal.
A peine quelques secondes s'étaient écoulées,
Les mêmes sensations ne s’étaient toujours pas dissipées.
elle se tenait toujours au même endroit, dans le sens du vent.
elle posa les yeux sur moi, un mouvement très furtif.
Son regard rencontra le mien, je restais néanmoins évasif,
je vis mon image se refléter dans le large miroir de ses yeux.
Je pus voir le choc qui s’y peignit sur ses traits si délicieux,
voir qu'elle mettait sa vie de côté pour quelques instants.
Elle ne cacha pas le sentiment ressenti facilement.
Quand elle décrypta l'expression de mon visage, du sang afflua à ses joues,
donnant à sa peau la plus belle couleur qu'il m'eût été donné de voir.
Tout se mélangeait en moi, donnant a ma bouche un arrière goût,
Son odeur formait une brume épaisse dans ma tête, broyée dans le noir.
Je pouvais tout juste penser à autre chose, elle était beaucoup trop tentante
Mes pensées faisaient rage, échappant à mon contrôle, incohérentes.
Elle marchait plus rapidement maintenant,
comme si elle comprenait qu'elle devait s'échapper.
Sa hâte la rendait maladroite, tangua et trébucha en avant,
Vulnérable et faible, voilà ce qu’elle était à en juger
J'essayais de me concentrer sur son visage intriguant
j'en vis un dans ces yeux que je reconnus avec révulsion.
Le visage du monstre en moi que j'avais combattu avec obstination.
Son parfum tourbillonna, éparpillant mes pensées et me projetant
Ma main s’agrippa au rebord de la table
tandis que j'essayais de me contrôler.
Le bois ne facilitait pas la tâche, hêtre ou érable.
Mes doigts écrasèrent le montant laissant leur forme gravée
Anéantir les preuves, c'était une règle fondamentale.
Je savais ce qui allait arriver maintenant, sans me contrôler.
La fille s'installerait à côté de moi, et je voudrais la tuer.
Ainsi que les élèves innocents de cette classe, dix-huit au total.
J'hésitais quant à ce que je devais faire, en cet instant
Même dans mon pire état, je n'avais jamais commis ce genre d'atrocité.
pas dans les huit dernières décennies. Je n'avais jamais tué d'innocents,
Et je planifiais dès à présent d'en massacrer, monstre que j’étais !!
Si je tuais la fille en premier, elle n'aurait pas le temps de crier
Du moment que je pouvais obtenir son sang si désirable...
Et ensuite je devrais les empêcher de s'enfuir, suis-je si détestable.
Juste une porte, la bloquer et tous les autres seraient piégés.
Je planifiais ça dans ma tête, ceux de droite en premier.
cette rangée serait la plus chanceuse : ils ne me verraient pas arriver.
Me déplacer au premier rang et repartir sur celui de gauche.
Assez longtemps pour que Bella comprenne ce que j'avais projeté.
Je pris une profonde inspiration et son odeur me traversa comme une flamme
incendiant ma poitrine pour absorber la meilleure impulsion dont j'étais capable.
Elle s'était tournée, fut assise à un mètre de moi, à la même table.
Je ne cherchais pas à savoir qui était cette maudite fille, cette femme.
La douleur me heurta avec puissance et le feu dévorait ma gorge.
Je m'écartai d'elle, révulsé par le monstre qui voulait la tuer.
Pourquoi devait-elle exister ? Pourquoi était-elle née ?
Je tournais la tête de l'autre côté,
brusquement envahi par une haine irrationnelle.
Qui était cette créature ? Pourquoi suis-je a côté d’elle ?
Je ne voulais pas perdre de cette vie de sacrifices et de mensonges !
Je ne le désirais pas, absolument pas, tout en moi me ronge
L'odeur était un problème, était elle un quelconque songe ?
Cette horrible illusion de l'odeur de son sang.
Si seulement il existait une façon de résister...
Si seulement un courant d'air frais pouvait m'éclaircir les idées.
Elle secoua ses longs et épais cheveux dans ma direction.
comme si elle encourageait le monstre ! pure spéculation !
Mais je ne devais pas respirer, stopper l'air qui s'enfonçait dans mes poumons.
Le soulagement fut instantané, mais incomplet, de toute façon.
J'avais toujours le souvenir de son parfum dans la tête,
son goût sur ma langue, une tentation des plus secrètes
Je ne serais pas capable de résister bien longtemps.
Mais peut-être pourrais-je tenir une heure de temps
Juste assez pour sortir de cette pièce emplie de victimes potentielles
Mais qui en aucun cas ne devraient jamais en devenir de réelles.
Si je pouvais résister pendant cette petite heure ainsi figé.
C'était inconfortable cette sensation que de ne pas respirer.
Mon corps n'avait pas besoin d'oxygène pour respirer,
je me fiais à mon odorat plus qu'à mes autres sens innés.
Cela me ramenait à ma façon de chasser,
l'odeur était le premier avertissement en cas de danger.
Tout cela, était certes, inconfortable
mais quand on y pense, maîtrisable.
Plus tenable que de la sentir de si près
de ne pas pouvoir enfoncer mes dents dans son cou
dans cette peau transparente agrémentée de chaleur,
Il fallait a tout prix que je tienne le coup
Juste une heure, une petite heure après tout
Je ne devais penser ni au parfum ni au goût.
Je ne pouvais pas voir son visage
Je ne voyais pas le reflet de son image,
pour essayer de lire ses émotions
dans ses yeux clairs et profonds.
Elle se cachait de moi, par crainte ou par désarroi,
Elle me devinait derrière cette barrière de cheveux,
Elle cachait sans doute des secrets, par peur d’un aveu,
Elle faisait en sorte que je la vois,
La détester, exécrer ce qu'elle me faisait ressentir m'aidait un moment
Je m'accrochais à toutes les émotions qui me distrayaient de mon désir de la goûter...
Haine et irritation. L'heure ne passerait-elle donc jamais, c‘était plus qu’effrayant
quand cette heure sera finie et elle sortira de cette classe
Je ne sais pas ce que je ferais, tout cela me dépasse
Ce serait alors assez facile de la mener dans la mauvaise direction.
Pour motif d'aller vers la forêt qui s'étendait jusqu'au parking du lycée,
je pourrais lui dire que j'avais oublié un livre dans ma voiture mal garée
Personne de notre entourage ne pourrait alors se poser des questions,
Sauf que je n'étais pas le seul étudiant à être conscient de sa présence ici,
Mike Newton en particulier était au fait de tous ses gestes lorsqu'elle gesticulait,
Elle était inconfortablement trop près de moi, comme quelqu'un d'autre l'aurait été,
Il s'apercevrait forcément qu'elle quittait la classe avec moi aujourd’hui.
Si je pouvais tenir une heure, pourrais-je en tenir deux ?
Il fallait que je fasse quelque chose, je me sentirai mieux,
J'hésitais face à la douloureuse sensation de brûlure.
Je voulais en finir, même s’il fallait aboutir à la morsure
Si je retenais mon souffle, je pouvais résister pendant deux heures.
Je voulais être le moins monstrueux possible lorsque je la tuerais.
Bien que je la détestais, je savais que cette haine était injuste,c’est vrai
Mais je sais que je suis au fond, un monstre pensant, un tueur
la personne que je haïssais réellement, c'était moi et non elle,
et que je me haïrai encore plus lorsqu'elle serait morte enfin
Je passai donc l'heure à tenter de trouver la meilleure façon de la tuer en vain
Une fois, vers la fin du cours, elle me jeta un coup d'oeil à travers ses cheveux.
Je pouvais sentir ma haine injustifiée me brûler en dedans et pour ce peut
Du sang afflua à ses joues avant qu'elle ne puisse se cacher
et je faillis perdre la bataille, mais la cloche se mit à sonner.
Nous étions sauvés. Elle, sauvée d'une mort imminente et des pires.
Moi, sauvé pendant quelques instants de la créature que j'allais devenir,
que je craignais et que j'aurais préféré ne jamais être, si j’avais pu aboutir
Je ne pus marcher aussi tranquillement que je l'avais voulu
je sortis de la salle comme une flèche, et je couru.
Si quelqu'un m'avait regardé à ce moment précis,
il aurait sans doute remarqué que je ne venais pas d’ici
Je me cachais malgré moi dans ma voiture.
Je n'avais plus assez de discipline pour être avec des humains.
Et cela aurait été du gaspillage, une imposture
Si je m'abandonnais au monstre maintenant,
cela serait la pire des défaites, déraisonnable c’est certain
Je mis un CD de musique qui me calmait habituellement,
mais il ne pouvait désormais plus grand-chose pour moi.
La meilleure aide était ce vent frais et humide qui voletait
je pouvais me rappeler avec exactitude de l'odeur de son sang
inhaler cet air frais et humide me lavait en dedans
Je redevins sain d'esprit et pus à nouveau réfléchir.
Je pouvais à nouveau me battre, lutter et ne pas fuir
Je n'avais pas à aller chez elle., je n'avais pas à la tuer, je le dois
J'étais manifestement une créature rationnelle j'avais le choix.
Je n'avais pas ressenti ça dans la classe, mais j'étais loin d'elle.
Peut-être que si je l'évitais et que si je faisais très attention,
je n'aurais pas besoin de changer de vie à cause d‘elle.
J'avais ordonné les choses de telle façon que ma vie me plaisait comme ça.
Pourquoi devrais-je laisser quelqu'un d'aussi exaspérant et délicieux détruire cela ?
Ironie, vouloir protéger cette humaine des piètres menaces de l'esprit de Jessica.
J'étais le dernier à pouvoir prétendre être le protecteur de Bella.
Elle n'avait eu autant besoin de protection que contre moi.
Heureusement pour elle qu’à présent j’avais fait le bon choix
Où était Alice ? me demandai-je subitement.
Ne m'avait-elle pas vu tuant Bella de toutes les façons possibles ?
Pourquoi n'était-elle pas venue m'aider, cela semblait incompréhensible
Me stopper, ou m'aider à faire disparaître les preuves, à sa préférence ?
Etait-elle si absorbée par les problèmes de Jasper qu'elle avait manqué cette urgence
Je cherchais dans la direction où je savais qu'elle était,
dans le bâtiment utilisé par les nombreuses classes d'anglais.
Cela ne me prit pas longtemps pour localiser sa voix familière.
Toutes ses pensées étaient tournées encore une fois vers Jasper,
J'espérais que je pourrais lui demander des conseils, mais, en même temps,
j'étais content qu'elle ne sache pas ce dont j'étais capable,
qu'elle ne soit pas rendue compte du massacre auquel j'avais rêvé cependant.
Une nouvelle brûlure consumma mon corps : de la honte, inévitable.
Si je pouvais éviter Bella, si je pouvais réussir à ne pas la tuer
même si le monstre en moi se déformait et grinçait des dents,
Si je pouvais rester éloigné de son parfum des plus enivrants
Au moins, il n'y avait pas de raison que je n'essaye pas.
La dernière heure de cours était presque terminée,
Je décidai de mettre aussitôt mon nouveau plan en exécution.
C'était mieux que de rester ici, dans le parking, en perdition
où elle pourrait passer et ruiner tous mes efforts tentés .
Je ressentis une nouvelle fois cette haine injuste envers elle.
Je détestais qu'elle ait ce pouvoir sur moi.
Ce qu'elle pouvait me faire était une chose que j'injuriais de plus belle.
Elle s’était encré sans que je m’en aperçois
Je marchais promptement en direction du secrétariat du lycée.
Il n'y avait aucune raison que Bella s'y rende également.
La pièce était vide, à l'exception de la secrétaire peu occupée.
elle ne remarqua pas lorsque je fis mon entrée silencieusement.
La femme leva les yeux, qui s'agrandirent, vers moi.
même après nous avoir vus plusieurs fois.
Mais je savais être charmeur lorsque je le voulais.
C'était facile, depuis que j'étais capable de savoir quelles expressions prendre.
Je me penchais en avant, rencontrant son regard, elle n’avait plus qu’a se rendre
La porte s'ouvrit derrière moi, cette personne ne pensait pas à moi.
Je m'avançais un peu plus près, m'aidant de mes yeux, plus ouverts.
Je lui souris en faisant attention à ne pas l'éblouir en faisant des manières,
ce qui l'aurait alertée, laissant cette expression adoucir mon visage.
Son coeur se mit à battre plus fort et s’emballer davantage.
Mais, en une seconde, tout changea dans la pièce, mon but en venant ici,
la raison pour laquelle je me penchais vers la femme au regard ébahi.
Une seconde pendant laquelle une rafale de vent entra et me percuta.
je compris pourquoi la première personne qui entra à ce moment là
ne m'avait pas dérangé avec ses pensées, en pénétrant sans bruit.
Bella se tenait près du mur, son sac pressé contre elle, un papier à la main
Ses yeux étaient aussi grands lorsqu'elle croisa mon regard, féroce et inhumain.
L'odeur de son sang saturait chaque molécule d'air contenue dans cette petite pièce.
Je dus user de tout le self-control pour reprendre ma voix paisible
Il y avait juste assez d'air dans mes poumons pour parler une dernière fois,
Je filai et sortis en vitesse de la pièce, en évitant de toucher à ma corde sensible
Ne pas sentir le sang chaud qui coulait dans ses veines, je le dois
Lorsque je me glissais dans la voiture, les autres étaient déjà là.
Alice, Jasper, Emmet et Rosalie avaient sans doute compris mon état,
J'essayais de respirer plus calmement, mais j'haletais, comme si je suffoquais.
Mon propre démon me dégoûtait, mes yeux, luisants, cramoisis de sang frais.
.
Bella Swan, morte. Voilà ce qui comptait
Le monstre en moi se réjouissait.
Je roulais a vive allure, accroché au volant de ma voiture
Ma voiture s'arrêta net dans un crissement de pneus.
Emmett, Rosalie et Jasper sortirent en silence,
Alice leur expliquerait quand je serais parti, ce qui est mieux.
Elle me toucha l'épaule, pour apaiser ma souffrance.
Tu feras le bon choix, j’en suis persuadée, murmura-t-elle,
ce qui n'était pas une vision, mais un ordre, je te le dis.
Elle est la seule famille de Charlie Swan, elle est sa vie.
Cela le tuerait, lui aussi, si tu lui ôte la vie à cette belle.
Elle se glissa à l'extérieur pour rejoindre les autres, dans les bois,
J'accélérai vers la ville de Forks. je me hâtais pour y retourner
Je savais que les visions d'Alice étaient des flashs pouvant changer
Je n’avais aucune idée de ce que le monstre voulait de moi,
je n'étais pas sûr de ce que j'allais faire.
Dire au revoir à ma famille, surtout, à mon père ?
Ou embrasser le monstre en moi ?
Je le sais à présent, j’ai encore le choix……………