Je pense pas avoir le talent de certaine...et surtout le temps.
Mais voilà, je sens que ça va me reprendre et que je vais écrire plus.
Donc, sans aucune prétention.(au contraire, je suis pure dilletante)
Premier écrit que j'avais mis dans mon boudoir.
Voici ma première créa "texte"... demi-créa puisque que basé sur les mots de Shakespeare!
L'acte d'Edward à Volterra m'obsède depuis le début de la saga, et bien avant avec l'histoire de Roméo et Juliette.
Edward, Volterra
Combien souvent les hommes sur le point de mourir se sont sentis joyeux !
Ceux qui veillent sur eux disent : l’éclair avant la mort...
Ah! Pourrais-je nommer cet heure éclair?
Ce soleil sur ma peau, enfin !
Chaleur bienvenue, annonciatrice de mon trépat
O Mon amour ! ma femme ! Bella !
Te voilà enfin, voici mille ans que je te souhaite
Morte… combles mon chagrin de ta perte du bonheur de nos retrouvailles
La mort qui a sucé le miel de ton haleine
n'a pas encore eu de pouvoir sur ta beauté :
elle ne t'a pas conquise ; la flamme de la beauté
est encore toute cramoisie sur tes lèvres et sur tes joues,
ton odeur si obsédante, m’enivre encore, sur ta peau douce et chaude
Le pâle drapeau de la mort n'est pas encore déployé là ...
Ah ! chère Bella, pourquoi es-tu si belle encore ?
Dois-je croire que le spectre de la Mort est amoureux
et que l'affreux monstre décharné te garde ici dans les ténèbres pour te posséder ?
A-t-il eu le courage de faire ce que j’ai refusé en te privant de ton âme?
... Horreur ! Je veux rester près de toi,
et ne plus sortir de ce sinistre palais de la nuit, palais des Volturi,
pour me dévoilé au jour ;
Tu étais ma seule raison de rester en vie, mon soleil, ma vie
ici, ici, je veux rester avec la vermine !
Oh ! c'est ici que je veux fixer mon éternelle demeure
et soustraire au joug des étoiles ennemies cette chair lasse du monde...
Puisque mon astre s’est éteint, ma lumière !
Comme elle tu m'étais interdit
Un dernier regard, mes yeux !
Mes bras, une dernière étreinte !
et vous, mes lèvres, portes du souffle vital,
scellez par un baiser légitime un pacte indéfini avec le sépulcre accapareur !
Viens Felix, amer conducteur, viens, âcre guide.
Pilote désespéré, vite ! Fais ma mort semblable à la sienne
lance sur les brisants ma barque épuisée par la tourmente !
À ma bien-aimée !
Paradis !
Mais voilà, je sens que ça va me reprendre et que je vais écrire plus.
Donc, sans aucune prétention.(au contraire, je suis pure dilletante)
Premier écrit que j'avais mis dans mon boudoir.
Voici ma première créa "texte"... demi-créa puisque que basé sur les mots de Shakespeare!
L'acte d'Edward à Volterra m'obsède depuis le début de la saga, et bien avant avec l'histoire de Roméo et Juliette.
Edward, Volterra
Combien souvent les hommes sur le point de mourir se sont sentis joyeux !
Ceux qui veillent sur eux disent : l’éclair avant la mort...
Ah! Pourrais-je nommer cet heure éclair?
Ce soleil sur ma peau, enfin !
Chaleur bienvenue, annonciatrice de mon trépat
O Mon amour ! ma femme ! Bella !
Te voilà enfin, voici mille ans que je te souhaite
Morte… combles mon chagrin de ta perte du bonheur de nos retrouvailles
La mort qui a sucé le miel de ton haleine
n'a pas encore eu de pouvoir sur ta beauté :
elle ne t'a pas conquise ; la flamme de la beauté
est encore toute cramoisie sur tes lèvres et sur tes joues,
ton odeur si obsédante, m’enivre encore, sur ta peau douce et chaude
Le pâle drapeau de la mort n'est pas encore déployé là ...
Ah ! chère Bella, pourquoi es-tu si belle encore ?
Dois-je croire que le spectre de la Mort est amoureux
et que l'affreux monstre décharné te garde ici dans les ténèbres pour te posséder ?
A-t-il eu le courage de faire ce que j’ai refusé en te privant de ton âme?
... Horreur ! Je veux rester près de toi,
et ne plus sortir de ce sinistre palais de la nuit, palais des Volturi,
pour me dévoilé au jour ;
Tu étais ma seule raison de rester en vie, mon soleil, ma vie
ici, ici, je veux rester avec la vermine !
Oh ! c'est ici que je veux fixer mon éternelle demeure
et soustraire au joug des étoiles ennemies cette chair lasse du monde...
Puisque mon astre s’est éteint, ma lumière !
Comme elle tu m'étais interdit
Un dernier regard, mes yeux !
Mes bras, une dernière étreinte !
et vous, mes lèvres, portes du souffle vital,
scellez par un baiser légitime un pacte indéfini avec le sépulcre accapareur !
Viens Felix, amer conducteur, viens, âcre guide.
Pilote désespéré, vite ! Fais ma mort semblable à la sienne
lance sur les brisants ma barque épuisée par la tourmente !
À ma bien-aimée !
Paradis !